Osez écrire !

L'écriture, toute écriture, reste une audace et un courage. Et représente un énorme travail.
Michel Mailhot. La vie arrachée.

mercredi 5 mai 2010

À Paris...

Mes dernières vacances, je suis allée à Paris. Ce voyage a été le meilleur de ma vie. J'ai visité beaucou de'endroits. Paris est comme un rêve, tout est simplement spectaculaire. Je voudrais aller une autre fois l'année prochaine.

À Paris, les personnes sont très agréables et gentilles ; ses rues, son style, tout en général est fantastique.

Je suis arrivée à l'aéroport Roissy-Charles de Gaulle, et là j'ai pris un taxi pour aller à l'hôtel. Ce jour-là, j'ai été très fatiguée et j'ai dormi tôt.

Le deuxième jour, le matin, j'ai visité la célèbre tour Eiffel, elle est très grande, belle et impressionante. Après, je suis allée au Musée d'Orsay et le soir, j'ai dîné dans un restaurant populaire. J'ai mangé un pavé de saumon délicieux. Le resto s'appelle « Chez Philippe ».

Le troisième jour, je me suis promenée au jardin du Luxembourg et j'ai pris un café avec un délicieux croissant.

Le quatrièm jour, je suis allée à la Bastille, au spectaculaire Musée du Louvre, à l'Arc de Triomphe et au Trocadéro.

Le cinquième et dernier jour de mon voyage, j'ai dû aller à la Gare du Nord, où j'ai pris le métro, à la Gare de Lyon. Là, j'ai été à la Place de la Nation et j'ai visité aussi les Bois de Vincennes.

J'ai été très triste parce que j'ai dû partir.

J'ai acheté beaucoup de cadeaux pour ma famille, pour mes amis et pour moi, et j'ai pris beaucoup de photos. J'ai énormément profité.


Silvia Granados
Niveau 2

©rédits photos & images
La tour Eiffel vue du Trocadéro




Art de la Rue

En rue libre


Pourquoi les arts de la rue sont-ils importants ?
Nous avons interrogé quelques étudiants. Voici leurs réactions...

Je pense que l’art dans la rue est nécessaire pour la formation culturelle d’un peuple ; le priver de l'occasion d’expérimenter des expressions artistiques publiques, sans coût, c’est comme les priver de respirer librement et gratuitement.

Si on parle des groupes artistiques de rue costaricains, interdire leur présentations publiques, gratuites, c’est interdire la culture, le développement de la sensibilité sociale, et j’ai peur pour les conséquences que cette mesure peut avoir sur les costaricains comme peuple cultivé.

Il faudrait penser aux enfants du Costa Rica, à leur créativité en train de se développer, à leur formation sociale et culturelle et à notre peuple en général. Carolina Coto.

Nous croyons que l’art est très important pour les personnes du monde, et l’art de la rue est très bien pour les personnes qui ne peuvent pas payer un billet pour le théâtre et pour d’autres activités artistiques qui sont très chères.

Les personnes à San José aiment l’art dans la rue, tous les dimanches il y a beaucoup de personnes qui y viennent pour participer dans ce type d'activités. Nous pensons que c’est magnifique.

L´art est très important pour le pays, pour les personnes et pour la culture en général. Tout au long de l’histoire du monde, les manifestations artistiques ont existé et elles ont été un facteur très important pour le développement de la civilisation... et nous croyons que l’art peut sauver le monde.

Nous sommes certains que l’art est indispensable, il y a des milliers d’artistes et de spectateurs qui aiment l’art et les spectacles qu'on réalise dans les rues de San José et les autorités se doivent de respecter ces activités car elles sont très ordonnées et n’ont jamais suscité de problème.

Enfin, la rue est libre et les personnes peuvent assister aux activités qu’elles préfèrent. Samaria Montenegro.

Chaque personne a une manière différente de dire les choses, il y a des personnes avec du talent pour amuser les autres, pour les rendre heureux, pour les faire oublier la tristesse, les préoccupations, qui font qu’un voyage à la ville soit tellement intéressant ! Les artistes font ça ! Les artistes nous donnent des raisons pour rire, pour voir la vie d’une manière différente, pour vivre !

C'est vrai qu'il y a beaucoup de jeunes qui tirent profit de ces manifestations artistiques pour voler et faire du mal. Je pense qu'on peut créer de nouvelles chances pour que les personnes puissent montrer leur travail, pour apprendre un art, une manière de s’exprimer, pour devenir quelqu´un. Eduardo Rowe.

Niveau 4, Bº Amón.


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