Tahar ben Jelloun nous dit que la lutte contre le racisme commence par l'examen de notre vocabulaire parce que les mots ont une force interne qui peut devenir dangereuse. Il affirme que la volonté et l'imagination sont nécessaires. Les lois et les institutions ne sont pas suffisantes. Il conclut en disant qu'il faut aller plus loin : il faut reconnaître l'originalité et la dignité de chacun.
Les mots sont dangereux. La lutte contre le racisme commence par un travail sur la langue. En plus de la volonté, il faut de la persévérance et de l'imagination. La diversité est une belle chose. Chacun a le droit à la dignité.
En fait, la lutte contre le racisme commence par le bon maniement du vocabulaire. Si je dis « apartheid », je commence à créer une séparation qui provoquera la guerre et la haine.
Je suis d'accord avec la défense de la diversité. Les autres ont leurs propres valeurs parce qu'ils sont tous différents. Je m'enrichis dans la mesure où j'accepte l'autre comme il est.
Sofía Cisne
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Osez écrire !
L'écriture, toute écriture, reste une audace et un courage. Et représente un énorme travail.
Michel Mailhot. La vie arrachée.
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